Les nouveaux problèmes de sûreté du nucléaire actuel et de quatrième génération
Conférence-débat
L’évaluation des différentes filières énergétiques du futur a souvent alimenté les travaux de l’Académie des sciences. De plus, l’Académie s’est engagée sur une réflexion après l’accident nucléaire majeur de Fukushima. Dans la perspective d’un suivi de la question fondamentale de la production d’énergie sans rejet de gaz carbonique deux séances publiques d’information sont organisées. Le 18 octobre dans le cadre d’une conférence-débat les nouveaux problèmes de sûreté des réacteurs actuels et de quatrième génération seront exposés par cinq intervenants spécialistes du domaine. Le 15 novembre, un défi scientifique suivi d’un débat portera sur les perspectives des énergies renouvelables. L’Académie des sciences espère que ces deux séances aideront nos concitoyens à améliorer leur connaissance sur une question aussi cruciale tant pour la société que pour l’environnement.
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Ouverture de la séance et introduction
Alain Carpentier, président de l'Académie des sciences, Édouard Brézin, membre de l'Académie des sciences et Denis Jérome, membre de l'Académie des sciences -
La recherche au CEA dans le domaine de la sûreté des réacteurs à eau de seconde et troisième génération
Philippe Billot, Commissariat à l'Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives
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Les réacteurs nucléaires de troisième génération
Bertrand Barré, Conseiller scientifique auprès d'AREVA, Professeur à l'Institut National des Sciences et Techniques Nucléaires -
Les évaluations complémentaires de sûreté du parc de production EDF
Xavier Pouget-Abadie, EDF -
Les réacteurs de quatrième génération - Le prototype ASTRID - Les enseignements de l'accident de Fukushima
François Gauché, Commissariat à l'Énergie Atomique et aux Energies Alternatives -
L'évaluation de la sûreté des réacteurs actuels et ceux de quatrième génération
Michel Schwarz, Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire -
Discussion générale et conclusion
Vidéos réalisées par la cellule Webcast CC-IN2P3 du CNRS