L'Académie des sciences distingue et encourage des chercheurs français et étrangers en décernant des Prix.

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Prix JEAN-PIERRE LECOCQ
Grand Prix de l'Académie des sciences

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Deux Prix d'un montant de 30.000 € chacun

Créé en 1992.
Deux prix biennaux sont décernés : l'un est remis dans le domaine des sciences fondamentales et l'autre dans le domaine des sciences appliquées. Les lauréats devront obligatoirement être âgés au plus de 55 ans. Au moins un des prix sera attribué chaque année à un chercheur travaillant en France.


Attribution du Prix Jean-Pierre Lecocq 2014

Le Prix Jean-Pierre Lecocq 2014 est décerné à :
- Emmanuelle Charpentier, directeur du département de la régulation dans la Biologie infectieuse au Centre Helmholtz de la recherche infectieuse en Allemagne, dans le domaine des sciences fondamentales ;
- Pascal Barbry, directeur de recherche au Centre national de recherche scientifique à l'Institut de Pharmacologie Moléculaire et Cellulaire à Sophia Antipolis, dans le domaine des des sciences appliquées .

Lauréats 2012 :

Catherine Dargemont, directeur de recherche au CNRS et Artur Scherf, directeur de recherche au CNRS et professeur à l'institut Pasteur.
La séance solennelle de remise de ce Prix a eu lieu le 27 novembre 2012

Voir les discours prononcés au cours de cette cérémonie et le reportage photo


Non attribué en 2010 et en 2011

Tous les lauréats depuis la création du Prix

L'Académie des sciences est l'une des cinq Académies composant l'Institut de France - Mentions légales - INTRANET - [ Mise à jour le 30.09.2014 ]
crédit photo Illustration Aurore boréale en Norvège, env. 70° de latitude nord, région de Tromsø, près du glacier Steindalen, dans les Alpes de Lyngen, le 14 mars 2010. Après un retard inexpliqué de son cycle, l'activité du Soleil a redémarré début février 2010 entraînant un regain d'activité aurorale dans les régions les plus septentrionales. C'est dans la haute atmosphère que les flots de particules chargées et guidées par le champ magnétique de la Terre percutent les molécules composant notre atmosphère, après avoir subi des perturbations du vent solaire. Les atomes ainsi excités émettent un rayonnement visible dans différentes longueurs d'ondes, en fonction de leur nature. Entre 100 et 250 km d'altitude environ, la couleur verte provient de l'excitation des atomes d'oxygène.
© CNRS Photothèque / MOUETTE Jean / 2010